“VERT INDOLENT” (janvier 2010)
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Ce troisième album, marqué par le deuil, y compris le deuil amoureux, est un recueil de chansons et d'instrumentaux à la mélancolie assumée, conçu comme une véritable promenade avec ses pauses, ses reprises et ses errances.
C'est un album court
comprenant 3 instrumentaux et 7 chansons, dont 2 écrites avec Jolyon Derfeuil pour Nathalie Pizette, elle qui accompagnait Aurélien Merle sur les duos de ses deux premiers albums ("Before the world was made", "La cantatrice fauve"...). Les chansons "C'est cousu" et "Un doigt sur la bouche" lui étaient destinées, parmi d'autres. Aurélien Merle a décidé de les ajouter à son répertoire et de les interpréter à sa place. "Grosse fleur" est également une chanson-portrait qui lui est consacrée. Mais
le deuil amoureux est aussi évoqué à travers les chansons "Un arbre" et "Un indécis", plus autobiographiques.
À la recherche du titre pour l'album, un ami me conseille de relire "Le loup des steppes" de Herman Hesse : au fil des pages, je tombe sur le mot "indolent". Par association d'idées, on me rappelle l'existence de cette belle chason de Jeanne Moreau : le "Blues indolent". Et comme je pensais déjà à une promenade en forêt pour relier les chansons de ce disque, "Vert indolent" est apparu...